Le rapport d’information du Sénat recommandait des synergies entre niveaux de pouvoir. Qu’en est-il réellement ? J’ai posé la question à la secrétaire d’Etat.

Le 26 février 2016, après plusieurs mois d’auditions, de discussions…, bref, de travail, le Sénat a adopté en séance plénière le rapport d’information consacré à la lutte contre la pauvreté infantile. Un document riche en (r)enseignements et en recommandations. Avec, parmi celles-ci, l’importance de veiller « tout particulièrement à la transversalité de la problématique, en organisant et en facilitant les collaborations entre les différents niveaux de pouvoir ».
Au travers d’une question écrite, je viens de demander à Elke Sleurs, la secrétaire d’Etat en charge de la Lutte contre la pauvreté, l’Egalité des Chances, les Personnes handicapées, la Politique scientifique et les grandes villes, ce qu’il en était réellement en matière d’évaluation de ces synergies.
J’ai également interrogé Elke Sleurs sur l’agenda de la Conférence interministérielle de l’Intégration sociale (dont on ne peut que souligner l’utilité et le caractère incontournable lorsqu’il s’agit de coordonner ce type de politique) ainsi que sur les échéances prévues pour l’évaluation globale du Plan de lutte contre la pauvreté et, ce notamment au travers le prisme de la transversalité entre les niveaux de pouvoir.
Réponse prévue au plus tard le 3 novembre prochain. En théorie, du moins.